Anatomical variations in the attachment between the tendon of the flexor hallucis longus (FHL) and of the flexor digitorum longus (FDL) are not clearly detailled in the medical literature. Twenty-four cadaver specimens were dissected and the distal anatomical relationship between the FHL and the FDL were analyzed and measured. There are three configurations of the attachment between the tendon of the FHL and of the FDL. The absence of a tendon link seems to be more common than has been published to date in the medical literature. We have also shown that the same patient may have a different configuration on each foot. Anatomical variations in the links between the tendon of the flexor hallucis longus (FHL) and of the flexor digitorum longus (FDL) are not clearly detailled in the medical literature. There are three configurations of links between the tendon of the FHL and of the FDL. The absence of a tendon link seems to be more common than has been published to date in the medical literature. A surgeon who wants to preserve the distal function of the FDL after transferring the proximal portion of the latter should perform surgical tenodesis initially or explore the FHL-FDL attachment and perform tenodesis when a type-3 configuration is discovered. We distinguish three different configurations of the distal link between the FHL and the FDL. In type 1, a tendinous band from the FHL is attached to the FDL (42%, 10/24). In type 2, a tendinous band from the FHL is attached to the FDL and another one from the FDL is attached to the FHL (42%, 10/24). In type 3, there is no attachment (17%, 4/24). In no case is there only an attachment from the FDL to the FHL. In four cadavers a different configuration was present on each foot. The diameter of the attachment compared with the “donor” tendon varied between 37 and 53%. Twenty-four intact cadaver specimens were dissected and the distal anatomical relationship between the FHL and the FDL were analyzed. The width of the tendons and their attachments were measured to the nearest half-millimetre.
Entre Janvier 1998 et Février 2001, 39 patients avec une fracture du 5e distal du tibia furent traités primaire-ment à l’aide d’un enclouage centromédullaire vérouillé statique. La population étudiée est composée de 24 hommes et 15 femmes, âgés de 40 ans en moyenne. Le suivi moyen est de 12,9 mois. Une union osseuse a été obtenue pour toutes les fractures. Le temps moyen de consolidation fut de 21,5 semaines (incluant un cas à 68 semaines). Quatre patients on présenté un retard d’union, et une chirurgie additionnelle fut requise chez trois d’entre eux. Deux patient ont présenté une malunion. Ces deux cas étaient associés à une fracture du péroné distal qui n’avait pas été ostéosynthésée. Les fractures du tibia distal demeurent un défi thérapeutique pour le chirurgien orthopédique. L’enclouage centromédullaire alésé verrouillé statique est une méthode d’ostéosynthèse sécuritaire et efficace pour ces fractures, tel que démontré dans notre série. L’enclouage centromédullaire est désormais considéré comme la méthode d’ostéosynthèse la plus appropriée dans le traitement des fractures déplacées de la diaphyse tibiale. Son usage s’est étendu aux fractures des tiers proximaux et distaux du tibia. Par contre, beaucoup moins de preuves sur l’efficacité d’un tel traitement existent. Les fractures du tibia distal demeurent un défi thérapeutique pour le chirurgien orthopédique. L’enclouage centromédullaire alésé verrouillé statique est une méthode d’ostéosynthèse sécuritaire et efficace pour ces fractures, tel que démontré dans notre série. Le montage offre une stabilité suffisante pour la mobilisation et la mise en charge précoce. L’adhérence à une technique minutieuse est requise et permet d’éviter une malunion. Notre série confirme la place de l’enclouage centromédullaire comme méthode d’ostéosynthèse primaire des fractures du 1/5 distal du tibia. Entre Janvier 1998 et Février 2001, 39 patients avec une fracture du 5e distal du tibia furent traités primaire-ment à l’aide d’un enclouage centromédullaire vérouillé statique. La population étudiée est composée de 24 hommes et 15 femmes, âgés de 40 ans en moyenne (16 à 79 ans). Le suivi moyen est de 12,9 mois (7 à 24 mois) Une union osseuse a été obtenue pour toutes les fractures. Le temps moyen de consolidation fut de 21,5 semaines (incluant un cas à 68 semaines). Quatre patients on présenté un retard d’union, et une chirurgie additionnelle fut requise (dynamisation du clou) chez trois d’entre eux. Deux patient ont présenté une malunion, soit 5o de varus dans un cas et 7o de valgus dans un cas. Ces deux cas étaient associés à une fracture du péroné distal qui n’avait pas été ostéosynthésée. Aucune perte de réduction n’a été notée en postopératoire. Cinq complications furent notées, soit un bris de matériel (vis de verrouillage n’entrainant pas de séquelle foinctionnelle et ne requérant pas de réopération), deux syndromes du compartiment et deux atteintes neurologiques (sciatique poplité externe). Aucune infection ni problème cutané ne sont survenus. En moyenne, la mise en charge fut autorisée à 5,8 semaines postopératoire. Financement: Aucun